Christian Charrière-Bournazel a été mon avocat, très grassement payé. Il n'a rien fait pour me défendre. Pire, au moment de la grève de 48 heures de mes collègues pilotes, les 27 et 28 mai 1992, avec préavis adressé au ministre Jean-Louis Bianco, il a refusé d'intervenir, alors que n'importe quel avocat digne de ce nom rêverait d'avoir une grève professionnelle au soutien de son client (dans un dossier qui concerne l'activité professionnelle de celui-ci). Peu après, au moment où était lancée la procédure d'expulsion de mon domicile, en juillet 1992, il m'a écrit "je ne souhaite pas être chargé plus longtemps de la défense de vos intérêts". Il m'a lâché au pire moment. Pas très gentil. Je sais qu'il a par la suite prétendu que je l'aurais menacé.
J'ignore si je suis visé dans sa déclaration ci-dessous (marquage rouge), mais on m'a posé la question. Je lui ai donc demandé des éclaircissements, avec copie à l'AFP et divers autres destinataires. J'attends la réponse (à suivre...).