Jean Pierson, ancien patron d'Airbus, semble me donner raison.
Dans
La Dépêche du Midi, reprise par
Le Monde
(1), il déclare : "
Il me semble qu'on est passé progressivement de notre métier de base
à celui de la communication et des finances. Ce qui se passe est grave."
Dans mon livre, paru en 1994, page 115, j'écrivais la même chose, en d'autres termes :
"
Il serait temps que ce constructeur comprenne qu'on ne vend pas des avions comme un
bonimenteur de foire vend ses savonnettes."
[...]
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