Jean-Claude Boetsch, journaliste français, syndicaliste de gauche, mérite la médaille. Qu'on en juge à la lecture
de ce qu'il a publié récemment sur son
site (1).
La prose de Boetsch est particulièrement révoltante.
Il oublie de dire que les pilotes d'Air France ont fait deux jours de grève, juste après l'accident du Mont
Sainte-Odile, pour me soutenir. Seule grève
spécifique aux pilotes d'Air France pendant dix ans. Il passe sous silence les problèmes syndicaux que
rencontrent les pilotes, que je dénonce depuis vingt ans. Les pilotes ne sont plus représentés, syndicalement,
parce que quiconque dérange est neutralisé par des moyens illégaux.
S'agissant de la grève, ce sont les journalistes qui ont fait silence. Boetsch a montré l'exemple en
la matière. Il savait pourtant parfaitement à quoi s'en tenir sur mon affaire. Il est aussi vice-président
de l'association des victimes !
La méthode est abjecte : quand les pilotes font deux jours de grève, ce sont les journalistes, en premier
lieu Boetsch, qui se taisent... puis ils prétendent ensuite que ces mêmes pilotes n'ont jamais rien fait.
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