Avant la création de mon site (23 août 2004) et à la suite d'un courriel à Eurocockpit
du 1er juillet qui l'annonçait ("dans ma situation ce sera dur mais j'y arriverai"),
Eurocockpit m'a fait part de son intention de m'aider
dans un courriel du 17 août 2004 (ici, document N° 1).
J'en ai fait état dès le 1er septembre, indiquant ce qui pourrait être souhaitable, au minimum
(ici, en bas de page).
Mais Eurocockpit ne fera rien. Pas un seul mot dans ses infos. Et, dans ses forums,
je serai même plusieurs fois censuré.
Dès les premiers jours. J'ai ouvert un sujet le 25 août 2004, supprimé, puis remis sous la pression d'intervenants, pour être verrouillé le 29. C'est ici (vite, parce que cela pourrait être rapidement supprimé, mais il y a des copies de sécurité). On peut voir le remplacement récent du nom de mon site par des étoiles.
Le même jour, 29 août 2004, un participant s'inquiète et relance. Il est lui aussi immédiatement verrouillé !
Mais, finalement, en raison de la pression de ceux qui découvraient mon affaire, il a bien fallu que les administrateurs d'Eurocockpit acceptent qu'on en parle.
Un an plus tard, quand le film Whisky Romeo Zulu est sorti en France,
le parallèle évident avec mon affaire, s'agissant de la psychiatrie et autres méthodes,
a été occulté (ici, document N° 2).
En outre, le staff a censuré
dans les forums les comparaisons entre les deux histoires (sauf dans une rubrique déserte).
Dans le même temps, ce même staff
prétendait mensongèrement que je refuserais aide et soutien. Par exemple, Thierry
Le Floch (pseudo "VMO"), administrateur et co-fondateur de Radiocockpit / Eurocockpit, dans un message envoyé à plusieurs
inscrits aux forums (ici, document N° 3).
Nombreux sont ceux, pourtant, qui peuvent témoigner du fait que j'aurais plutôt tendance à abuser en la matière.
Un autre exemple est significatif. Eurocockpit a fait état d'une affaire
dont on ne sait pas tout (ici, document N° 4).
Voyant qu'aucun sujet sur cet évènement n'était ouvert
dans les forums, j'en ai ouvert un, m'interrogeant à propos du silence
persistant sur mon affaire, beaucoup plus limpide, caricaturale même, et qui concerne
un pilote, et qui plus est français. Il a été immédiatement supprimé.
Antoine Hayem, administrateur d'Eurocockpit, a tenté assez maladroitement de se justifier,
renouvelant ses promesses jamais tenues
(ici, document N° 5).
En février et mars 2006, Eurocockpit s'est démasqué. Dans quelques courriels assez largement diffusés
et qui sont en ma possession,
Eurococo, comme on les appelle souvent, allez savoir pourquoi... prétend que je serais
sujet au "délire", j'aurais un "coup au casque", "quelque chose ne tourne pas rond" et autres
gentillesses. Je devrais m' "interroger sur le désert qui se crée autour de [moi]". Mais
la parution de La Montagne les a un peu calmés. Il est intéressant de savoir qu'ils avaient transmis aux auteurs du livre la même prose, tentant de les dissuader de parler de mon affaire dans leur ouvrage !
J'avais gardé tout cela sous le coude, espérant qu'Eurocockpit cesserait ses magouilles. Il n'en fut rien. Ils ont continué leurs manoeuvres rampantes. Peu avant Noël 2006, ils ont supprimé en bloc des messages. Ils ont tout chamboulé. Ils m'ont désactivé, ainsi que ceux qui connaissent suffisamment le dossier pour me défendre, laissant libre cours au déchaînement contre moi, sans qu'il puisse y être répondu efficacement. Bonnes vieilles méthodes soviétiques. La rupture est donc consommée. |