Courriel du 23 octobre 2004 de J.-C. Boetsh,
vice-président de l'association des victimes (Habsheim)
et également journaliste à France 3 Alsace
J'avais auparavant demandé à J.-C. Boetsch ce que je devais répondre à ceux qui me demandaient pourquoi l'association des victimes ne me soutenait pas plus.
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Mon courriel du 26 octobre 2004 à J.-C. Boetsch
La mise au point peut paraître sévère, mais la mise en cause était écoeurante.
(Un oubli : j'aurais pu rappeler à J.-C. Boetsch qu'au moment de la grève des
pilotes à mon sujet, les dirigeants de l'association ont refusé d'intervenir,
alors qu'ils ne cessent de prétendre qu'ils veulent la vérité !)
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Mon courriel du 4 novembre 2004 à J.-C. Boetsch
Sensible à la remarque de J.-C. Boetsch, j'essaie d'être constructif. La réponse -ou l'absence de réponse- du vice-président de l'association sera édifiante.
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Mon courriel du 8 novembre 2004 à J.-C. Boetsch
Manifestement, Jean-Claude Boetsch ne veut pas déranger la raison d'Etat !
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Mon courriel du 16 novembre 2004 à J.-C. Boetsch
Et que penser de l'avis de J.-C. Boetsch sur les dirigeants d'Echo, l'association des victimes de l'accident du Mont Sainte-Odile ?
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