Courriel du 25 novembre 2004 de la première présidence de la cour d'appel de Paris
En fait, l'institution judiciaire m'a "répondu". Prévoyant qu'il s'agissait d'une opération de diversion, j'ai préféré n'en rien dire, attendant la suite.
On notera que l'auteur du courriel, prudent, n'indique pas son nom. Il a ensuite préféré se taire. A-t-il agi ainsi à la demande de Renaud Chazal de Mauriac ?
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Mon courriel du 26 novembre 2004 à la première présidence de la cour d'appel de Paris
Gentil, court, simple et limpide (malgré une faute...).
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Mon courriel du 6 décembre 2004 à la première présidence de la cour d'appel de Paris
On ne peut plus simple !
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Mon courriel du 13 décembre 2004 à la première présidence de la cour d'appel de Paris
Cela doit être trop simple pour qu'ils comprennent au palais de justice.
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Mon courriel du 20 décembre 2004 à la première présidence de la cour d'appel de Paris
Vous ne rêvez pas. Des gamins de dix ans agiraient plus intelligemment. Elle est belle la justice française !
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