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Faut-il s'inquiéter ou en rire ?




Mon courriel du 3 mars 2005 à 10:00:47 (Paris)

Un acte pénal a été transmis à une adresse périmée, ce que nul n'ignorait. Ceci intervient à un moment crucial de l'affaire.
Me souvenant des histoires de faux délits inventés par des magistrats (exemple), j'ai donc pris quelques précautions.
Le courriel ci-dessous a été adressé à l'huissier détenteur de l'acte et à ceux qui sont concernés à divers titres.
(Caroline Mecary, du conseil de l'ordre des avocats, venait de m'envoyer un courriel proprement délirant)






Mon courriel du 4 mars 2005 à 14:09:53 (Paris)

Devant le manque de bonne volonté de certains de mes interlocuteurs, je verrouille.






Mon courriel du 9 mars 2005 à 09:21:48 (Paris)

Le manque de bonne volonté se confirme. A l'opposé, je mets tout en oeuvre pour être positif (sans être fan de Lorie, ni de Raffarin).
L'huissier m'avait demandé une adresse. Je lui en ai communiquée une (cf. supra). Ne voyant rien arriver, j'ai insisté pour en savoir plus.
Et j'ai ainsi appris que l'acte me concernant avait en fait été renvoyé au procureur de Lorient, qu'il me faudrait contacter. Bizarre, bizarre...






Mon courriel du 10 mars 2005 à 09:41:52 (Paris)

La caricature se poursuit.






Mon courriel du 10 mars 2005 à 15:28:30 (Paris)

Une dernière couche pour assurer. Et on voit que les ténors du barreau parisien agissent comme des gamins de dix ans pris la main dans le pot de confiture. Lamentable.





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