La catastrophe, survenue le 16 août 2005,
a provoqué la mort de 160 personnes dont 152 Français. Dix-huit ans plus tard...
La cour d'appel a débattu en catimini, à
huis clos, excluant les familles de victimes, et elle a rendu sa décision dans les mêmes conditions. C'est digne
du Moyen Age. Et tous les médias font silence (seuls trois médias locaux ont rapporté brièvement les faits).
Ainsi vont la justice et les médias dans la plupart des enquêtes sur les crashs aériens. La nomenklatura de
l'aviation impose sa volonté à tout un pays.
En France des
magistrats de l'ordre judiciaire et des avocats falsifient les enquêtes sur les accidents aériens. Ils escroquent
les familles de victimes et détruisent sciemment celles-ci à petit feu. Ils ont créé des réseaux de corruption et
ils mettent tout en oeuvre, encore et toujours, pour maintenir ceux-ci en activité. Celui qui dénonce cette
corruption passe sa vie à être enfermé... à la demande des corrompus ! Et les morts inutiles s'accumulent par
centaines. Les médias sont complices. Il suffit de regarder des images et de lire un peu pour constater cette
triste réalité. Par exemple sur une page du 24 avril 2023 inspirée par une interview du chef de l'Etat dans Le
Parisien.

Tweet Le Parisien du 23 avril 2023 (lien vers le tweet)
Regarder les images,
surtout en bas de la page, suffit pour commencer à comprendre :
Emmanuel Macron, Marine Le Pen et l'«habitude du mensonge»
Je ne roule pour personne. Je me contente
d'agir dans l'intérêt de la sécurité aérienne et pour aider les familles de victimes d'accidents. Et je constate
des faits.
Crashs aériens : le dernier état de la France déliquescente
Aucun coupable, aucun responsable. Ni
personne physique ni personne morale. C'est d'une grande clarté et il en est ainsi depuis des décennies. Un
historique, partiel mais suffisant, est présenté dans un récapitulatif régulièrement réédité :
La France est une république bananière (crashs aériens)
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