Je suis pourchassé parce que j'ose parler de
sécurité aérienne. Mon salut passe-t-il par une arrivée du RN au pouvoir ? Je n'en fais pas le pari, mais
rien ne m'empêche de me poser la question.
Ethiopie, 10 mars 2019 : 157 morts, dont 9 Français, dans le crash du Boeing 737 MAX
La justice et les médias français ont été
"achetés" par des industriels de l'aéronautique. Cela rappelle le Honduras et ses compagnies fruitières il y a un
siècle. Il suffit de lire quelques documents, très courts, pour comprendre. Ils sont présentés dans deux PDF.
Un premier PDF. Ses pages 8 et 9
montrent avec éclat que les falsifications dans les enquêtes sur les crashs aériens sont monnaie courante, admises
par tous (ses pages 5 et 6 et le tout début de sa page 7 montrent en outre que je ne m'étais pas trompé il y a
quatre décennies) :
Justice, corruption : la France fait fort ! [PDF - 14 pages - 686 Ko]
Un second PDF. Il montre la collusion
entre le Syndicat de la magistrature, le Syndicat national des journalistes et le Syndicat des avocats de France
(on y trouve aussi ce qui concerne un courriel, qui pèse lourd dans un tel dossier, du haut magistrat Hayat, ainsi
qu'une note édifiante de l'OACI d'août 2019 et des informations sur une entente entre Boeing et Airbus et entre
les autorités de tutelle) :
Justice et médias : tous corrompus ? [PDF - 5 pages - 347 Ko]
Tous les documents, facilement
compréhensibles, appuyant ce que j'expose depuis une éternité, sont accessibles depuis ces deux PDF et/ou
en continuant ci-dessous.
Habsheim, 26 juin 1988 : crash à Air France du tout nouvel Airbus (A320)
En France, la corruption dans les enquêtes
sur les accidents aériens fait des ravages et c'est la justice qui organise celle-ci. Les médias, AFP en tête,
sont complices.
En France, celui qui dénonce la corruption
d'Etat, preuves en main, passe sa vie à être recherché et enfermé par la justice... à la demande des
corrompus !
En France, la justice falsifie les enquêtes
sur les accidents aériens. Elle entretient des réseaux de corruption. Elle escroque les familles de victimes et
détruit celles-ci à petit feu. Et elle passe son temps à me faire rechercher pour m'enfermer ! Les médias,
AFP en tête, participent à la curée.
BFMTV (avec AFP), 10 mars 2019 (article BFMTV)
La justice française ne fait strictement rien
dans son enquête sur le crash en Ethiopie. Il en est ainsi parce qu'elle est soumise à Airbus et Boeing, deux
avionneurs complices dans leurs manoeuvres pour étouffer des vérités qui dérangent. Toutefois, des mesures ont
été prises aux Etats-Unis. Une opération Mains propres y est en cours depuis 2019. Elle apporte son lot de
révélations, parfois choquantes. En France rien ne change.
En France des
magistrats de l'ordre judiciaire et des avocats falsifient les enquêtes sur les accidents aériens. Ils escroquent
les familles de victimes et détruisent sciemment celles-ci à petit feu. Ils ont créé des réseaux de corruption et
ils mettent tout en oeuvre, encore et toujours, pour maintenir ceux-ci en activité. Pire : celui qui ose
dénoncer cette corruption passe sa vie à être pourchassé et enfermé. Il est bannni, ostracisé, victime d'une
campagne étatique de discrédit. Il en est ainsi depuis trente-six ans !
Plusieurs centaines de journalistes,
magistrats et avocats sont informés de ce que je dénonce. Ce n'est pas glorieux pour la France (le pays de la
fille cachée de Mitterrand). La CEDH est activement complice. Tous mes dossiers sur les catastrophes aériennes
sont étalés sur le Web, très faciles à comprendre.
Au Monde ils sont une septantaine à
très bien savoir ce que je dévoile (la corruption dans les enquêtes sur les crashs aériens et ses conséquences
meurtrières), mais ils n'en ont cure. A l'AFP, à Mediapart, à Libé et dans d'autres rédactions aussi ils
savent.
Tous ces gens savent aussi que...
« LA PLANETE M'A DONNE RAISON »
Tous les documents, facilement
compréhensibles, qui prouvent cette affirmation sont accessibles depuis les deux PDF présentés au tout début de
la présente page et/ou en continuant ci-dessous.
Exemple : l'aveu d'Airbus
Titre d'un article de Gil Roy (aerobuzz.fr) du 12 février 2019 (avant le crash en Ethiopie)
Exemple : Un note de l'OACI
OACI, août 2019 : les pilotes et les automatismes
Exemple : l'aveu mondial de Patrick Ky (EASA)
Conclusion d'une dépêche Reuters du 14 juin 2022
Patrick Ky, directeur exécutif de l'EASA
(l'agence européenne de la sécurité aérienne), a fini par avouer le 14 juin 2022 aux Etats-Unis (à Washington)
que "les régulateurs du monde entier apportent des modifications aux règles" et qu'ils sont devenus
"beaucoup plus prudents" (il s'agit en premier lieu des Etats-Unis et de l'Europe).
L'histoire complète depuis quatre décennies
Les magouilles criminelles ont commencé à
être fermement dénoncées et à apparaître au grand jour dans les années quatre-vingt :
Extrait du quotidien L'Alsace du 16 novembre 1988 : "En 1985 déjà, Norbert Jacquet..."
Et maintenant ? Ce n'est pas joli...
La France, république bananière ?
Belgique : La Meuse du 1er février 2021 sur le crash de l'AF447 Rio-Paris (extrait, page 4)
Chacun peut en juger au vu de ce qu'on trouve
sur le Web. Une page récapitulative, régulièrement renouvelée en fonction de l'actualité, permet d'accéder à
l'essentiel :
La France est une république bananière (crashs aériens)
Addendum : la cellule investigation de Radio France
Depuis 2022 elle est parfaitement informée
de ce que je dénonce. Mes démarches auprès d'elle ont été plusieurs fois rappelées sur le Web, la dernière en
août 2023 :
La cellule investigation de Radio France et la sécurité aérienne
Addendum : même le personnel politique est acheté par Airbus !
Mediapart, 25 août 2023
Une partie d'une commission versée par
Airbus à des intermédiaires est revenue en France. C'est une rétrocommission, pratique illégale. Des précisions
en première page d'un PDF du 28 août 2023 :
Airbus achète tout le monde [PDF - 5 pages - 479 Ko]
Addendum : même la CEDH est corrompue !
Des précisions dans un PDF déjà ancien
(avril 2018) :
La CEDH et les enfants gâtés [PDF - 8 pages - 389 Ko]
Et aussi : un procès de Moscou à vomir
Ouest-France, 5 octobre 2012 (extrait)
Des précisions sur une page du
9 décembre 2024 :
Un procès de Moscou à vomir (crashs aériens)
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