Courriel du 21 février 2001 de Jean-Claude Boetsch,
vice-président de l'association des victimes (Habsheim)
et également journaliste à France 3 Alsace
Je lui avais transmis une copie d'un communiqué à l'AFP sur le fait que je m'étais évadé
de chez les fous et devais me cacher (cf. "objet").
Il met en cause le comportement de l'AFP tout en notant que certains journalistes ont eu le courage de parler
(rappel). Mais lui, que fait-il ?
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Courriel du 14 février 2002 de Jean-Claude Boetsch
Mais que fait Jean-Claude Boetsch, vice-président de l'association des victimes
et journaliste, salarié protégé par son statut syndical ? (!)
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Courriel du 20 février 2002 de Jean-Claude Boetsch
"EDIFIANT", certes, mais que fait le vice-président de l'association ? Et le journaliste ?
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Courriel du 13 février 2003 de Jean-Claude Boetsch
Si Jean-Claude Boetsch est rassuré, c'est le principal ! J'ai eu peur pour lui. C'est vrai quoi, c'est dur pour lui.
Quatre mois plus tard, je me suis retrouvé à la prison de Fresnes, toujours sous un motif bidon
(rappel).
J'espère qu'il ne s'est pas inquiété.
Je m'en voudrais d'être responsable d'une angoisse chez lui.
Mais peut-être cette affaire l'a-t-elle finalement stressé ? La suite (rappel) est
ici.
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