Courriel du bâtonnier Burguburu du jeudi 17 mars 2005 à 09:49:42 (Paris)
Beau discours, mais très éloigné de la réalité.
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Ma réponse du même jour au bâtonnier (et à l'avocat de Sèze) à 11:25:23 (Paris)
En raison de l'urgence et du manque de moyens je ne peux reproduire l'intégralité de l'en-tête. Il manque aussi la signature. Désolé.
S'agissant des derniers échanges de courriels dont je fais état dans cette réponse, relatifs à la convocation, on trouvera
ici un rappel.
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Ma relance du même jour à 15:29:50 (Paris)
Courriel à l'avocat de Sèze qui m'oppose toujours le silence. C'est vraiment n'importe quoi !
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Encore un rappel du même jour à 18:16:42 (Paris)
Avant de partir à la Gare de Lyon prendre le car pour SDF, une dernière relance à l'avocat de Sèze.
Avec une pointe d'humour pour détendre un peu l'atmosphère, peut-être obtiendrai-je une réponse ?
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Mon courriel à l'avocat du samedi 19 mars 2005 à 10:11:17 (Paris)
La veille, vendredi 18, l'avocat a refusé de répondre à des questions essentielles.
Il refuse de préparer des conclusions écrites (parce qu'il n'aurait plus de secrétariat !).
Je n'irai donc pas à l'audience lundi et je fais demander le renvoi.
C'est l'objet du courriel qui suit, avec un "recadrage" de l'affaire (qui vaut pour les autres destinataires).
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Mon courriel à l'avocat du dimanche 20 mars 2005 à 09:48:05 (Paris)
Oui, je sais, même le dimanche... Mais l'audience a lieu le lendemain et je n'en ai été averti qu'au tout dernier moment.
Alors, j'en mets une dernière couche pour demander le renvoi (le lien indiqué à la fin du courriel est repris
ici).
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Mon courriel aux avocats du lundi 21 mars 2005 à 16:37:27 (Paris)
Courriel adressé au bâtonnier Burguburu, aux membres du conseil de l'ordre, à l'avocat véreux de Sèze et au premier président de la cour d'appel.
J'ai été entendu par le tribunal en début d'après-midi, j'ai demandé le renvoi pour les raisons qui figurent dans les précédents documents et je l'ai obtenu.
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Mon courriel aux avocats du mardi 22 mars 2005 à 09:14:04 (Paris)
Que penser de cette poignée d'avocats qui, parallèlement, ne cessent de mentir en prétendant être les éternels remparts de protection des libertés individuelles ?
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