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Crash Airbus A 340 Etihad à Toulouse : Paul-Louis Arslanian à l'oeuvre
- mis en ligne le 21 novembre 2007 -



La nouvelle technologie Airbus ("la référence" selon le constructeur)... c'est toujours "Rantanplan" !
Pour tenter de cacher cette réalité et, surtout, ses raisons, la justice française s'acharne contre moi.
Elle continue à œuvrer pour protéger certains acteurs de l'administration de l'aviation civile française.

Faits divers. Le Bourget.

Le gang du BEA (Bureau d'enquêtes et d'analyses) qui sévit au Bourget, dans le 9-3 (précision donnée dans l'intérêt des services de police pour leurs statistiques de la délinquance), a encore frappé. C'était hier, 20 novembre 2007.

Son chef, Paul-Louis Arslanian, est une figure du milieu des professionnels de l'aéronautique qui lui marque le plus profond respect par le choix de son "blaze" : Paulo les fausses boîtes. Mais ce caïd de la banlieue nord-est semble vouloir se recycler comme comique. Peut-être un successeur de Coluche ? Qu'on en juge.

Le BEA s'est fendu d'un communiqué, le 20 novembre, à la suite de l'accident de l'Airbus A 340 Etihad à Toulouse, survenu le 15 novembre. Voici quelques photos qui montrent que l'avion avait déjà acquis une grande vitesse au moment d'escalader le mur oblique et de subir des dégâts irrémédiables (voir surtout les photos de jour) : photos c-a.com et photo a.net (1).

Et voici ce qu'en pense le BEA dans son communiqué (extraits) : "les quatre moteurs étaient à forte puissance depuis environ trois minutes. L’avion a commencé à avancer et a percuté un mur anti-souffle treize secondes plus tard. A ce stade, aucun dysfonctionnement technique au niveau des systèmes de freinage et des moteurs n’a été mis en évidence. [...] Comme après chaque accident, le BEA recommande d'éviter toute interprétation ou conclusions hâtives."

Pourquoi l'avion a-t-il commencé à avancer ? Que s'est-il passé pendant ces treize secondes au bout desquelles l'avion a percuté le mur oblique à forte vitesse, l'escaladant, y compris avec ses réacteurs (ce qui a amené les trains à se soulever du sol !) avec les dégâts qu'on peut constater sur la machine ? Personne n'a pensé à freiner, dans l'avion, pendant ces treize secondes ? Personne n'a pensé à réduire les réacteurs pendant ces treize secondes ? Le BEA dispose des informations techniques (paramètres FDR) et aussi de l'enregistrement des conversations (CVR). Il sait parfaitement ce qu'il s'est passé durant ces treize secondes. Mais, soyez gentils, circulez, y'a rien à voir (1).

Pour ceux qui pourraient être surpris, voici un rappel des exploits de cette bande de faussaires et de leur chef, Paul-Louis Arslanian  :
- procès Mermaz (1992) ici (et ),
- Habsheim, extrait de mon livre (1994) ici,
- Sainte-Odile, extrait de mon livre (1994) ici
- procès contre mon livre (1995) ici,
- plainte Arslanian contre mon site Web (2005) ici.

La dernière procédure est officiellement toujours en cours. Je n'ai rien changé à ce que j'ai écrit. J'en ai même rajouté. Et maintenant, Arslanian, il dit quoi ?

(1) Update 4 décembre 2007 : Une photo circule depuis plusieurs jours. Son authenticité n'est pas contestée. On voit que les occupants des places pilote ont braqué le train avant à droite jusqu'au maximum pour tenter de "faire quelque chose". Les Pieds Nickelés du BEA se sont-ils vraiment rendus sur place comme ils le prétendent ?




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