L'idée de saisir le Défenseur des droits
m'est venue à la lecture d'articles de presse du 27 juin 2023.
Le Monde, 27 juin 2023 : "La
Défenseure des droits, Claire Hédon, a rendu sa décision concernant l'affaire Adama Traoré. Dans un document de
vingt-sept pages daté du mardi 27 juin auquel Le Monde a eu accès, elle relève une série de
«manquements» des gendarmes dans leur «devoir de protection à l'égard de toute personne
appré-hendée» et demande «des poursuites disciplinaires à l'encontre des quatre militaires de la
gendarmerie» concernés". Repris par d'autres médias avec AFP.
Ce même 27 juin la Défenseure des droits
s'est saisie d'office du cas de Nahel M., mort le matin même. Une "décision motivée par «l'issue tragique
de cette intervention de police, la mort d'une personne, de l'âge de la personne morte, mineure, du déroulement de
cette intervention, au cours de laquelle une arme à feu a été utilisée»" (BFMTV et autres médias avec
AFP).
J'ai saisi le Défenseur des droits le 30 juin 2023
Des précisions sur cette saisine figurent
dans un PDF du 2 juillet 2023 :
J'ai saisi le Défenseur des droits [PDF - 2 pages - 193 Ko]
Et maintenant (18 septembre 2023) ?
Le Défenseur des droits, en la personne
d'Ariane Ajavon ("juriste" au service "protection des droits - affaires judiciaires" du "Pôle Justice et
Libertés"), s'est contenté, les 1er et 2 août, de me suggérer des démarches inopérantes, estimant qu'il
n'avait pas à en faire plus. Je lui ai écrit le 9 août puis le 13 septembre. Mon courriel du 13 septembre, dans
lequel je lui ai fait part de mes intentions, est présenté dans un PDF :
Mail à Ajavon, Défenseur des droits, 13 septembre 2023 [PDF - Une pages - 175 Ko]
Pas joli...
Cette saisine du Défenseur des droits entre
dans le cadre d'une affaire qui commence dans les années quatre-vingt. Ce n'est vraiment pas joli. La France
dégage des relents de république bananière.

BFMTV (avec AFP), 10 mars 2019 (article BFMTV)
La justice française ne fait strictement rien
dans son enquête sur le crash en Ethiopie. Il en est ainsi parce qu'elle fut longtemps soumise à Airbus et Boeing,
deux avionneurs complices dans leurs manoeuvres pour étouffer des vérités qui dérangent, mais aux Etats-Unis des
mesures ont été récemment prises. Une opération Mains propres y est en cours. En France rien ne change.
En France des
magistrats de l'ordre judiciaire et des avocats falsifient les enquêtes sur les accidents aériens. Ils escroquent
les familles de victimes et détruisent sciemment celles-ci à petit feu. Ils ont créé des réseaux de corruption et
ils mettent tout en oeuvre, encore et toujours, pour maintenir ceux-ci en activité. Celui qui dénonce cette
corruption passe sa vie à être enfermé... à la demande des corrompus ! Et les morts inutiles s'accumulent par
centaines. Les médias français sont complices. La France a vraiment tout d'une république bananière.
La France, république bananière ?

Belgique : La Meuse du 1er février 2021 sur le crash de l'AF447 Rio-Paris (extrait, page 4)
Chacun peut en juger au vu de ce qu'on trouve
sur le Web. Une page récapitulative, régulièrement renouvelée en fonction de l'actualité, permet d'accéder à
l'essentiel :
La France est une république bananière (crashs aériens)
Même le personnel politique est acheté par Airbus !

Mediapart, 25 août 2023
Une partie d'une commission versée par
Airbus à des intermédiaires est revenue en France. C'est une rétrocommission, pratique illégale. Des précisions
en première page d'un PDF :
Airbus achète tout le monde [PDF - 5 pages - 479 Ko]
Une comparaison avec les Etats-Unis

CNBC (dépêche Associated Press), 22 octobre 2022
L'affaire date un peu et s'étale sur
plusieurs années mais il n'est peut-être pas inutile d'y revenir en comparant à ce qu'il se passe en France.
Un rappel figure en première page d'un PDF du 6 septembre 2023 :
Aux Etats-Unis : Karlene Petitt (crashs aériens) [PDF - 5 pages - 420 Ko]
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