Les institutions françaises, en
premier lieu la justice, sont d'une
rare débilité.
Imaginons que quelques excités fassent sauter des
bombes
dans le métro ou
commettent des actes équivalents en signant "Groupe
de soutien à Norbert Jacquet"... "Comité de défense
de la Liberté"... (des Droits de
l'Homme
!)... "Sections Antibolcheviques "... et la République saute (si, si, il faut
lire ci-dessous). Telles ne sont pas mes intentions,
je le répète, mais tout cela est sur la
place publique grâce à Internet. Des excités, qui peuvent découvrir cette
affaire sur le Net et en tirer des idées lumineuses de révolution
plus ou moins nationale, ce n'est pas ce qui manque.
Mais je m'en moque, en rappelant que j'invite à ne pas recourir aux actions violentes,
l'incitation à recourir à de tels actes est un délit.
Un documentaire en anglais est en
cours de montage. Sa diffusion massive hors de France est assurée. C'est l'essentiel.
Revue de détail de ce qui pourrait ébranler la
République... ou plus.
D'abord, les archives
générales (voir à la date du 3 mai 2008) sur les
débuts de l'affaire, avec des vidéos d'émissions de TV,
permettent de comprendre.
On trouvera toutefois, ci-après, des analyses plus détaillées
de ces documents déjà édifiants, avec des nouvelles
pièces, notamment des extraits d'une vidéo enregistrée en
avril 1992, distribuée à divers intervenants et observateurs
dans les premiers jours de mai 1992, donc avant la grève des
27 et 28 mai 1992.
- Vidéo d'avril 1992 : extrait sur
le procès en diffamation intenté par le ministre
Delebarre, jugé en appel à la fin 1991. Christian
Charrière-Bournazel était mon avocat dans ce procès. Le peu
qu'il a fait fut de tenter de saboter ma défense. Tous les
documents évoqués dans cette cassette étaient joints à
celle-ci et étaient même déjà en possession de certains
destinataires, notamment Charrière-Bournazel, à qui cette
cassette a été transmise, ainsi qu'à d'autres, le 2 mai 1992,
avant la grève des 27
et 28 mai. Au cours de cette grève, le même
Charrière-Bournazel a refusé de parler, alors qu'il était mon
avocat, très grassement payé ! Cette cassette contenait aussi
des extraits de
"Ciel mon Mardi" du 2 mai 1989 et le JT de La
Cinq du 18 février 1992, avec une présentation . On parle
aussi de "mon ami"
Jean-François Gueullette et de Pierre-Henri Gourgeon dans cette
vidéo, avec le témoignage sous serment du second qui reconnaît
être en relation avec le premier à mon sujet. J'ai en ma
possession les documents du greffe qui sont présentés dans la
cassette (dans cet exposé j'avais oublié de relever quelques
autres mensonges de la part des juges, on trouve cela
page 155 de mon livre, avec, entre autres, les juges qui prétendent que
mes premières déclarations datent d'avril 1989, par réaction à
mon licenciement, alors qu'en réalité elles datent d'août
1988, cette réécriture de l'histoire par les juges permettant d'inverser
l'effet et la cause : je serais intervenu en
réaction à un licenciement, alors qu'en réalité, l'Etat m'a
retiré ma licence de pilote pour sanctionner mes déclarations publiques de
l'été 1988).
- Vidéo d'avril 1992 : extraits sur
les preuves des
mensonges et bidouillages (voir à l'alinea
précédent s'agissant de la transmission de cette cassette
à Charrière-Bournazel, et d'autres, avant la grève
des 27 et 28 mai 1992).
- Extrait d'une interview du
juge Guichard par les DNA du 13 octobre 1992. Le juge Guichard tient ces
propos peu après la grève de mai 1992 où je lui avais transmis
des documents
syndicaux
(d'autres aussi lui ont été transmis). A ce sujet,
pourquoi la juge Marchioni a-t-elle été dessaisie au profit de
Guichard ? S'agissant de l'article des DNA du 13 octobre 1992, on
trouve plus d'informations page 154 de mon livre (erratum page 154 : lire
"Varsovie" au lieu de "Bangalore").
- Faut-il rappeler ces quelques lettres émanant des
crapules du conseil de l'ordre des avocats, associées au
parquet et à des magistrats véreux ? (avec le
"background" ici) ?
- Et tout ce qu'on trouve sur mon
site, avec, notamment, ces quelques faits significatifs ?
Pour conclure, des précisions sur ma situation actuelle
et ce que je continue à subir,
ici (voir à la date du 12 avril 2008)
ou là.
Si je ne subis plus les enfermements de longue durée, c'est
grâce à Internet. Ce serait trop énorme quand, parallèlement,
le président Sarkozy se déplace au Tchad pour libérer et
ramener à Madrid des hôtesses de l'air espagnoles d'une petite
compagnie espagnole ou quand il intervient pour faire libérer
des infirmières
bulgares.