NB2. Ce qui est exposé ci-dessous date du 12 décembre 2019.
On retrouve les mêmes informations, complétées avec divers événements aéronautiques et judiciaires plus récents, à partir
d'une page du 15 décembre
On assiste aux Etats-Unis à une spectaculaire "opération
mains propres" en matière de sécurité aérienne, en toute transparence. Tout est mis sur la place publique, exposé quotidiennement
et longuement par les médias. Parallèlement, en Europe, en France des magistrats continuent à falsifier des enquêtes sur des
accidents aériens. Dans le silence des médias. L'enquête sur le drame du vol AF447 Rio-Paris (228 morts) est exemplaire en ce
sens. Il en est ainsi au mépris de la vie humaine et au lourd préjudice des familles de victimes purement et simplement
escroquées et sciemment détruites à petit feu.
Dans le cadre des enquêtes sur les accidents aériens la
justice française s'est au fil du temps transformée en organisation criminelle. Une organisation criminelle au sens du code
pénal : établissement de faux, usage de faux, subornation de témoin, corruption à grande échelle au sein des institutions
et des médias... Une organisation criminelle au sens courant : le sang versé coule à flots, les morts inutiles s'accumulant
par centaines. Et ce n'est pas fini ! Ce n'est pas fini !
Cette gabegie meurtrière est susceptible de profiter aux
"extrêmes", aux "populismes" et à d'autres en France et en Europe. Quant au reste du monde...
Histoire mondiale de l'aviation : l'OACI m'a donné raison "sur toute la ligne"
J'ai laissé passer un document
important du mois d'août 2019. L'OACI, Organisation de l'aviation civile internationale, a repris ce que je répète depuis le
milieu des années quatre-vingt. C'est le fil conducteur de mon livre publié en 1994. Depuis les années quatre-vingt je n'ai cessé de
le répéter auprès des médias et au sein des milieux judiciaires dans le cadre des procès abusifs engagés contre moi. Et tout est
sur le Web depuis 2004. Ces travaux de l'OACI sont présentés dans un PDF en langue française créé et publié fin août 2019
par l'OACI :
Les médias
américains, repris un peu partout dans le monde, continuent chaque jour à parler de sécurité aérienne. Le cas de Curtis Ewbank,
ingénieur chez Boeing qui s'était inquiété et l'avait fait savoir en interne, ce qu'il a révélé récemment, a été évoqué. Ewbank
sera entendu par un comité de la Chambre des représentants dirigé par Peter DeFazio
(dépêche Reuters).
Par la suite l'avocat principal des familles de victimes du
Boeing 737 MAX a indiqué qu'il entendait faire témoigner Ewbank et, là encore, tous les médias américains en ont parlé
(dépêche Reuters).
Le 8 octobre Associated Press a diffusé une
très longue dépêche qui apporte de l'eau à mon moulin sur les dessous peu ragoûtants de l'aviation
(dépêche Associated Press).
Le 11 octobre, un comité réunissant des experts de l'Europe
(EASA) et de neuf pays a mis en cause le régulateur américain FAA (dépêche Reuters
en anglais
et, plus courte,
en français).
Chaque jour, à la suite de dépêches d'agences, les médias
américains et ceux du reste du monde (mais très peu en France) parlent de sécurité aérienne et décortiquent les affaires internes
à Boeing et à la FAA.
Le 24 octobre en France Sciences et Avenir a livré des
informations intéressantes
(article).
Quand on sait ce qu'il se disait et s'écrivait dans les années quatre-vingt sur les pilotes qui ne serviraient plus à rien, appelés à
être remplacés par les Toutotomatik de chez Airbus dans les dix ans à venir ! La Tribune aussi donne matière en ma faveur
(article).
Drones militaires : l'Europe d'Airbus a vingt-cinq ans de retard, et peut-être même plus, sur les Etats-Unis. Bizarre, bizarre...
Le 25 octobre on a appris que les sénateurs démocrates américains
allaient déposer un projet de loi visant à obliger la FAA à contrôler ce que font les avionneurs s'agissant des automatismes
et de l'interface avec les pilotes
(dépêche Reuters).
Crash Lion Air : le rapport final indonésien (25 octobre 2019)
Le 25 octobre 2019 on a parlé en France, avec des
réactions de Boeing, du rapport final indonésien sur le crash Lion Air survenu un an plus tôt le 29 octobre 2018
(AFP -
Reuters). Quand on sait ce que j'ai écrit
après ce crash, publié sur le Web et transmis entre autres à des magistrats et des journalistes, il ne fait aucun doute que,
cinq mois plus tard, 157 personnes dont 9 Français (il y en aurait 10 aux dernières nouvelles) ont perdu la vie le 10 mars en Ethiopie
parce que des magistrats français ont refusé de m'écouter, préférant continuer à s'acharner contre moi dans le cadre de la campagne de
discrédit qui me vise.
Et quand on sait ce que j'écris depuis les années quatre-vingt
on peut même ajouter que le crash Lion Air ne se serait pas produit si on m'avait écouté.
Les auditions au Congrès des Etats-Unis (semaine du 28 octobre)
La semaine du 28 octobre a été riche en événements. La FAA et les
dirigeants de Boeing ont été sévèrement mis en cause à l'occasion d'auditions publiques au Sénat le 29 octobre et à la
Chambre des représentants le 30 octobre (Fox News, chaîne d'information en continu la plus regardée aux Etats-Unis, a diffusé
ces auditions en direct). De ces événements il s'est dégagé des conclusions sur les procédures de certification des avions. Je me
contente de signaler une
dépêche Reuters
faisant suite à une réunion internationale au Brésil et dont le titre, "... les règlements de certification devront être plus
sévères pour tous" annonce bien la couleur :
Les règlements de certification devront être plus sévères pour tous (dépêche Reuters)
Chaque paragraphe de cette dépêche reprend ce que je répète
depuis les années quatre-vingt ou expose les conséquences de ne pas avoir pris en compte ce que je répète depuis les années quatre-vingt.
J'avais prévu et annoncé ces conséquences auprès de l'AFP et des médias français et au sein des milieux judiciaires à l'occasion des
multiples procès abusif engagés contre moi depuis cette époque. Tout est exposé sur le Web depuis la création de mon site il y a quinze
ans, en août 2004.
Boeing : un milliard dans la sécurité (6 novembre 2019)
Boeing va investir 1 milliard de dollars dans une campagne mondiale pour la sécurité
6 novembre 2019. Boeing a décidé d'investir un milliard de
dollars dans une campagne mondiale pour la sécurité aérienne. Formation et compétence des pilotes, interface pilote-machine,
conception des cockpits...
(dépêche Reuters)
Boeing : en toute transparence (11 novembre 2019)
11 novembre 2019. Boeing expose en toute transparence les
démarches pour remettre en vol le MAX :
communiqué publié par Boeing.
Ce texte a été repris en tout ou partie par divers médias, y compris en français. Par exemple
dans Air Journal.
Dickson (FAA) met en garde ses fonctionnaires (15 novembre 2019)
15 novembre 2019. Steve Dickson, le patron de la FAA, enjoint
à ses fonctionnaires de ne pas céder à d'éventuelles pressions de Boeing pour remettre en ligne le MAX et il en dit même plus, ce
qui a entraîné
une dépêche Reuters
reprise par tous les médias américains (avec lien vers
une vidéo de 2mn 12s du compte YouTube de la FAA).
La FAA de plus en plus sévère (20 novembre 2019)
20 novembre 2019. A l'occasion d'un salon international à Dubaï,
le patron de la FAA, sur place, a confirmé qu'il sera extrêmement rigoureux, tant pour le futur 777X que sur l'éventuelle reprise des
vols du 737 MAX
(dépêche Reuters).
L'AFP mène l'enquête... aux Etats-Unis ! (27 novembre 2019)
27 novembre 2019. L'AFP a mené une enquête aux Etats-Unis sur
les problèmes du futur Boeing 777X
(article relatif à l'enquête de l'AFP).
Mais que fait l'AFP en Europe, en France, depuis les années quatre-vingt ?
La FAA en rajoute pour taper sur Boeing (6 décembre 2019)
6 décembre 2019. En raison de problèmes sur le 737 NG la
FAA veut faire payer une amende à Boeing
(dépêche Reuters).
Ed Pierson, ex-cadre de Boeing (semaine du 9 décembre 2019)
Le 9 décembre et les jours suivants tous les médias américains
ont longuement parlé d'Edward Pierson, ex-cadre de Boeing, et de l'audition de celui-ci par le Congrès
(article NBC news avec vidéo).
Au sujet d'Ed Pierson et des avertissements donnés avant la crash en Ethiopie on peut se reporter à
une page du 15 décembre 2019
CORRUPTION
Sherpa et d'autres ONG évoquent la corruption organisée par Airbus
Début octobre 2019 je suis tombé par hasard sur un communiqué
de presse du 11 juin 2018 de l'ONG Sherpa faisant état d'une demande d'un groupement d'ONG relative aux moyens de corruption
mis en place par Airbus. Sherpa spécifie : "Sept juridictions mènent actuellement des enquêtes sur Airbus pour des
soupçons de corruption qui concerneraient au moins 14 pays, notamment [...]. Selon certaines sources, Airbus aurait
versé plus de 650 millions de dollars de pots-de-vin pour remporter des contrats d'une valeur de 33,1 milliards de dollars. Les
soupçons couvrent toutes les divisions d'Airbus, des avions commerciaux aux hélicoptères, en passant par l'aérospatiale et la
défense."
(communiqué de Sherpa du 11 juin 2018).
Il faudrait être naïf pour ne pas envisager que cette corruption
puisse également affecter des enquêtes sur des accidents d'Airbus dans certains pays. Même en France, la corruption fait rage dans
ce domaine au sein des administrations et des médias. Et l'institution judiciaire n'est pas épargnée (avocats et magistrats).
LA JUSTICE AUX ETATS-UNIS
Ce qui est exposé ci-dessus sur les événements aux Etats-Unis
montre que la justice américaine s'active utilement après les crashs de 737 MAX. Il en est de même de l'exécutif (Department of
Transportation) et du Congrès. Et les médias font leur travail.
5 décembre 2019. Un ancien inspecteur de la FAA a été condamné
en Floride par un tribunal fédéral à six ans et trois mois de prison pour corruption et fraude, alors que ses actes n'ont eu que des
conséquences financières limitées (aucun accident). Les milieux de l'aéronautique et des médias ont rapporté l'événement (communiqué du ministère de la justice).
Condamnation d'un inspecteur de la FAA pour corruption et fraude
Ainsi, aux Etats-Unis, la justice joue son rôle. Les médias aussi.
En Europe, c'est le monde à l'envers. Les milieux de l'aéronautique sont corrompus jusqu'à la moelle et la justice française, dans le
but de protéger ces corrompus et à leur demande, s'acharne sur le pilote qui dit la vérité et qui agit pour sauver des vies et pour aider
les familles de victimes. Dans le silence des médias. La justice en Europe...
LA JUSTICE EN EUROPE (DERNIERS EVENEMENTS)
Conclusion d'un courriel du 10 décembre 2014 resté sans suite (crash AF447 Rio-Paris)
Engagement resté sans suite à ce jour, 21 décembre 2019.
L'échange de courriels est présenté en page 6 d'un PDF qui livre également des documents édifiants sur les gros mensonges dans
l'enquête sur le crash de l'Airbus du vol AF447 Rio-Paris organisés avec la participation très active de l'avocat de parties civiles
Thibault de Montbrial corrompu par le mis en examen Airbus (NB : depuis le 10 octobre 2019 Hayat est premier président de
la cour d'appel de Paris) :
Le PDF dont je viens d'indiquer le lien concernant le non-lieu
rendu dans l'enquête sur les 228 morts du Rio-Paris a été transmis...
... le 17 octobre 2019 à Catherine Champrenault,
procureure générale de Paris, avec copie à Jean-Michel Hayat, premier président de la cour d'appel de Paris depuis le 10 octobre
2019. PDF :
Le nouveau procureur du parquet national financier,
Jean-François Bohnert, a été informé. Je lui ai ensuite signalé, le 28 octobre, l'évolution du dossier. PDF :
Le 5 décembre j'ai écrit au produreur de Paris Rémy Heitz et
j'ai écrit à la directrice des affaires criminelles et des grâces Catherine Pignon. Deux PDF :
Le 10 décembre j'ai écrit à Jean-Michel Hayat, premier président
de la cour d'appel de Paris, pour lui rappeler l'engagement qu'il avait pris auprès de moi (avec copie à Rémy Heitz, procureur de
Paris). PDF :
Le 18 novembre 2019 j'ai mis en ligne une page livrant les
liens vers neuf PDF qui reprennent l'essentiel depuis les années quatre-vingt avec tous les documents utiles, les émissions de
télévision... Trente cinq ans de l'histoire mondiale de l'aviation :
La justice française attend une nouvelle tragédie aérienne inutile.
La France a connu la honte avec la célèbre interview de la télé belge RTBF et sa scène culte concernant Mazarine et la cellule elyséenne
des grandes oreilles de Mitterrand. Pour ce qui concerne les enquêtes sur les crashs aériens il semble que la Belgique a, là
encore, de l'avance. Ci-dessous, extraits d'une émission de la télévision belge du 30 mai 2010 (la
lecture sur le site YouTube directement
permet d'avoir un texte d'accompagnement qui livre des informations complémentaires).