Airbus, corruption, drones, AF447 : danger (crashs aériens) - mis en ligne
le 26 décembre 2018 -
Eliane Houlette, procureure du parquet national financier (à l'époque rue des Italiens)
Les enquêtes sur les accidents aériens sont falsifiées. Les
preuves de ces actes sont disponibles sur le Web. N'hésitez pas à faire valoir ces dossiers.
Les enquêtes sur les accidents aériens sont falsifiées. Il en
est ainsi parce que des institutions européennes, notamment la Cour européenne des droits de l'homme, sont corrompues, parce que des
femmes et des hommes politiques sont corrompus, des fonctionnaires de divers ministères sont corrompus, des magistrats sont corrompus,
des avocats sont corrompus, des syndicalistes sont corrompus et des journalistes français sont corrompus.
Il serait criminel au regard des risques courus par les passagers
et irresponsable s'agissant de l'avenir d'Airbus de ne pas lire ce qui suit en pesant la validité des arguments présentés.
La justice
Dans des affaires financières sans grande importance, où il n'y
a pas mort d'homme, où les seules victimes ne pourraient être que des organismes publics, la justice en fait des tonnes, entraînant
d'importantes répercussions médiatiques. Parallèlement, dans les enquêtes sur les accidents aériens, des magistrats et des avocats se
sont constitués en bande criminelle organisée : corruption, mensonges, falsifications, subornation de témoin, arrestations et
séquestrations sans motif légal... Les conséquences de ces crimes et délits sont dramatiques : des morts par centaines.
Ce jeu meurtrier en vaut-il la chandelle ? Doit-on attendre
le prochain crash inutile ?
CORRUPTION... VOUS AVEZ DIT CORRUPTION ?
Jeudi 20 décembre 2018 : information sur Airbus reprise par tous les médias (extrait)
L'AFFAIRE DES DRONES
L'Eurodrone (vue d'artiste du projet)
Airbus la France et l'Europe ont près de trente ans de retard sur
les Etats-Unis. C'est surprenant quand on sait qu'Airbus se targue d'une prétendue avance sur le reste du monde dans les nouvelles
technologies. Explications avec rappel des points historiques depuis les années quatre-vingt :
AF447 Rio-Paris, rapport du BEA : une sonde d'incidence (AoA) bloquée (courbe bleue)
S'agissant des avions civils d'Airbus, dont les "cerveaux" devaient
remplacer celui des pilotes-concierges appelés à être débarqués et disparaître avant la fin du siècle dernier, les problèmes de "mise au
point" n'ont jamais été résolus depuis plus de trente ans. Il serait peut-être temps de corriger le tir. Quand on voit ce qu'il se passe
dans l'enquête sur le drame du vol AF447 Rio-Paris :