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Crash de l'Airbus A320 à Perpignan
Quelques éléments de réflexion
- mis en ligne le 10 janvier 2009 -




La justice française continue à s'acharner contre moi.
Elle entend ainsi continuer à protéger coûte que coûte les menteurs d'Etat .
Elle s'associe ouvertement à eux pour masquer des défauts de conception des Airbus. 

La justice avait commencé par des déclarations contradictoires du parquet de Perpignan dans les jours qui ont suivi le crash de l'Airbus A320 au large du Canet, le 27 novembre 2008. L'état des enregistreurs fut "variable" : intacts, abîmés, intacts... Puis DEUX juges d'instruction ont été saisis et ont désigné des experts techniques. Malgré cela, les enregistreurs de vol seraient restés illisibles pendant plus d'un mois. Qu'un seul l'ait été relèverait déjà de l'exceptionnel et d'un "pas de chance" extraordi-naire. Mais là, c'est carrément les deux. Défense de rire.

Le Bureau enquêtes et analyses (BEA) dirigé par le faussaire avéré Paul-Louis Arslanian, parfaitement connu comme tel de la justice, ne manque pas de préciser dans ses communiqués et déclarations qu'il travaille sous le contrôle de la justice et en collaboration avec le procureur. Le 8 janvier encore : communiqué du BEA.

Et maintenant ? On vient de le lire dans le communiqué publié "en accord avec le procureur" : les dépouillements des enregis-treurs sont officiellement disponibles depuis le 8 janvier. Les listings de paramètres issus du FDR sont disponibles. Vont-ils être dévoilés ? Il ne faut pas rêver. Le BEA et la justice vont distiller une information partielle et partiale, très orientée, très très lentement et en brouillant les pistes. Ce même jour, 8 janvier, le BEA a donné à l'AFP des informations supplémentaires très claires à ce sujet, en rappelant à plusieurs reprises qu'il travaille en collaboration avec la justice : dépêche AFP.

Ainsi, et comme d'habitude, la justice aux ordres fait ce qu'on lui dit de faire. Au service du BEA et des menteurs d'Etat. Au service d'EADS pour cacher des défauts majeurs des Airbus. Et tant pis pour les morts ! Passés et à venir...

La justice, véritable "putain de la République", est tellement dévouée à ses maîtres que, à leur demande et malgré mon exil en Autriche, elle continue à s'acharner maladivement contre moi dans le cadre de "procès de Moscou" incroyables pour tenter de me discréditer et de me faire taire. Comme en ex-URSS et ses "démocraties" populaires satellite où le KGB et autres Stasi et Securitate poursuivaient leurs dissidents jusque dans leur pays d'exil ! Bientôt le parapluie bulgare ? Quelques précisions ci-dessous avec, notamment, un procès engagé contre moi par... le BEA et son directeur Arslanian !

 

 
Les procès en cours dans lesquels tous les droits de la défense sont grossièrement bafoués, pire que dans les procès de Moscou (pas d'avocats en raison du comportement de la "mafia du barreau", refus de la part des juges d'entendre des témoins, refus de la part des juges de prendre en compte les quelques documents que j'arrivais à présenter malgré le manque de moyens, condamnation après trois jours de garde à vue, avec les menottes, les mains vides, en cinq minutes tout compris...) :

Citation (plainte d'Arslanian et du BEA en diffamation : les avocats, le bâtonnier, refusent de me répondre),
Convocation comminatoire (plainte de l'avocate véreuse Bouzerzour : les avocats, le bâtonnier, refusent de me répondre),
Condamnation (poursuites par le parquet : les avocats en cassation refusent de me répondre),
Citation (poursuites par le parquet sur dénonciations mensongères en bande organisée) (*),
Citation (plainte conjointe de deux membres du CSM, Latournerie et Vuillemin, et de Me Soulez-Larivière, l'avocat du BEA et d'Arslanian, les faussaires de l'aviation) (*).

(*) Dans ces deux procès et parce tout cela devient vraiment très énorme, un avocat, Augustin d'Ollone, premier secrétaire de la conférence, a été commis d'office très récemment, mais il se moque du monde et il le fait bêtement. En plus, il le montre.

Aux cinq procédures rappelées ci-dessus s'ajoutent les poursuites par les créanciers !

Les épisodes précédents (depuis 1988), ce fut toujours la justice aux ordres.


Vidéo bonus (20 secondes, fichier wmv) avec le haut fonctionnaire Daniel Tenenbaum "haranguant la foule" sur Antenne 2 en octobre 1990 pour me "jeter en pâture au peuple", comme en URSS, à la suite de mes déclarations, presse et TV, notamment "Envoyé spécial" (archives).


Norbert Jacquet
Victime de la folie judiciaire : http://jacno.com/prov/justice-folie.htm
Réfugié au pays de la liberté et des droits de l'homme : http://jacno.com/afp/louette-011.htm 



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