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Epitaphe

Qu'on se souvienne...

- mis en ligne le 25 décembre 2007 -



La justice française s'est acharnée à détruire avec méthode et application un pilote de ligne. Les conséquences...
(Update 26 février 2008 : avec une vidéo à l'appui, à voir sur YouTube ou sur Dailymotion)

Quoi qu'il arrive, qu'on se souvienne des qualités qu'on me reconnaissait quand j'étais pilote de Boeing 747 à Air France.

Qu'on se souvienne de ce que je suis resté, malgré les coups reçus.

Qu'on se souvienne que c'est le pouvoir socialiste qui a lancé contre moi la machine folle pour me massacrer et qui l'a ensuite alimentée pour continuer à me massacrer...

Que ce sont mes propres amis socialistes qui ont lancé contre moi et qui ont entretenu pendant des années cette machine haineuse à détruire, détruire et détruire encore et toujours, sans que rien, jamais, ne puisse l'arrêter...

Sans aucun espoir de vivre.

Après 72 heures de garde à vue, du 17 au 20 décembre 2007, j'ai été condamné à deux ans de prison avec sursis en comparution immédiate, le 20 décembre, sans pouvoir me défendre (ce qui est devenu systématique). Ce "procès" avait pour origine des plaintes conjointes de Dominique Latournerie et Jean-Claude Vuillemin, membres du Conseil supérieur de la magistrature, et de Daniel Soulez-Larivière, avocat attitré de l'administration de l'aviation civile (DGAC et BEA). Un procès bidon, une belle forfaiture organisée à la demande d'une bien curieuse association contre nature : le CSM et l'avocat des faussaires de l'aviation française ! Pour plus de détails sur ces sinistres méthodes soviétiques organisées au plus haut niveau de la justice, voir l'AFP que je tiens informée de tout.

Cette garde à vue avait aussi pour objet de me faire interroger par la brigade criminelle (capitaine Olivier Chazette) dans le cadre de l'enquête préliminaire de la section antiterroriste du parquet sur l'attentat du boulevard Malhesherbes contre l'avocat Olivier Brane, avec, entre autres, des tests ADN et d'écriture et divers interrogatoires. L'enquête préliminaire du parquet s'est achevée au troisième jour de ma garde à vue avec la saisine d'un juge d'instruction, Nathalie Dutartre. J'ai été libéré, mais je sais que l'enquête sur moi continue.

Et tout cela, alors que je suis à la rue, faisant du camping chez les uns et les autres, dormant parfois sur des bancs publics ou dans les circuits pour SDF, harcelé par les créanciers.

Ces évènements ont fait fuir mes derniers soutiens. Tel est l'objet de ces poursuites où, une fois de plus, on m'a refusé les moyens de me défendre, en violation de la loi. Même dans des procès en diffamation, dont certains sont toujours en cours, on m'interdit de citer et faire entendre un seul témoin. Même ceux qui se présentent spontanément ne peuvent témoigner (ce fut le cas, par exemple, avec le journaliste François Nénin, auteur de deux livres sur le transport aérien). Tous ces actes judiciaires, dont je suis victime, constituent des forfaitures (violations délibérées des droits de la défense pour entraîner des condamnations que la justice sait injustifiées) (1).

Que la bête meure (même si les chiffres achèvent de lui donner raison !).

Quoi qu'il arrive, quoi que je fasse, quels que soient les dommages pour quiconque, quelles que soient les conséquences politiques éventuelles, qu'on ne me juge jamais responsable. Jamais !

Pour ceux qui auraient encore un doute sur certaines évidences, voici, pour conclure, un rappel de quelques faits marquants de la première période que la justice et les médias français (l'AFP !) font semblant de ne pas voir ou de ne plus voir. C'est sans appel sur le caractère organisé du mensonge d'Etat et c'est ici.

(1) Complément ajouté le 5 janvier 2008 : On a mis en doute la véracité de mes propos, s'agissant de la réalité des procès actuels contre moi. J'ai donc mis en ligne, avec des précisions, des actes judiciaires établis par le greffe.




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