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Les dernières infos



Le 3 juillet 2005 : un dernier complément.

18 juin 2005 : changement de programme pour les raisons exposées ici.


(22 mai 2005)

Je frapperai à l'occasion du salon aéronautique du Bourget.


(Sans atteintes aux personnes, etc.)


22 avril 2005

J'ai laissé passer un peu de temps, espérant encore une réponse, mais les institutions (gouvernement, justice avec notamment les avocats, administration...) s'obstinent à m'opposer un silence irresponsable sur ma situation. Il ne reste plus qu'à citer Th. Roosevelt en soulignant qu'il n'est plus possible de ne pas "frapper" :

Don't hit at all if it is honorably possible to avoid hitting, but never hit soft.




27 mars 2005. L'hébergeur a connu quelques problèmes au cours de ces dernières 72 heures. Pour cette raison, la dernière info, du 25 mars, a été supprimée et son contenu intégré à celle d'aujourd'hui.

Jean-Claude Boetsch, vice-président de l'association des victimes à Habsheim et journaliste à France 3, a fini par retirer de son site Web la note falsifiée à mon préjudice. Puis il a retiré tout ce qui me concerne (je suis supprimé de la liste des protagonistes, mon livre a été supprimé de la "bibliothèque", le lien vers mon site a été supprimé...). C'est comme en URSS, quand on gommait sur les photos officielles les visages de ceux qu'on avait enfermés ou exécutés. Merci à Boetsch, journaliste et représentant de victimes, de confirmer ainsi, une fois de plus, qu'il a toujours agi pour cacher la vérité. On comprend mieux pourquoi j'en suis là.

Alors justement, sur ce dernier point, quelques nouvelles. La période d'hiver se termine et je vais perdre mon hébergement. Le 31 mars je me retrouve dehors avec mon sac et mes affaires. Le bilan ci-dessous était déjà dramatique. Maintenant, je n'ai vraiment plus le choix. Il va falloir faire sauter le carcan.


FIN FEVRIER 2005, BILAN ET DECISIONS.

• Les pouvoirs publics et les organismes chargés de la justice campent sur leurs positions (rappels ici et ). Ce sont des fous dangereux. Heureusement, j'ai la tête bien vissée sur les épaules.

• Alors que je fus le seul à aller contre la raison d'Etat (rappel ici), Michel Asseline, le pilote de l'appareil accidenté à Habsheim, se répand en mensonges et diffamations à mon encontre (rappels ici et ). Il a toujours été complice des faussaires et il persiste aveuglément à les défendre. Il est vrai qu'il en est remercié par une réhabilitation de plus en plus voyante, comme le montre un évènement récent et choquant où on le voit participer à un raout officiel en présence du ministre des Transports. Son poste enviable à Air lib était déjà significatif (rappel ici). Il semble être toujours soutenu par Jean-Claude Boetsch, vice-président de l'association des victimes à Habsheim et journaliste à France 3. Il en est ainsi depuis des années au vu des courriels que j'ai reçus au fil du temps. En voici peut-être le motif.

• Les médias français, ce n'est pas joli. Toutes les rédactions sont informées (dernière liste ici, rappels dossiers ici et , rappels divers ici, et ).

• Tout est bloqué dans la bananeraie française et il va falloir changer de terrain et de méthode.


22 février 2005. Michel Asseline, le pilote à Habsheim, se déchaîne actuellement contre moi, notamment dans des forums aéronautiques, se livrant aux mensonges et à la diffamation. C'est abject. Des explications complémentaires ici. Mais les gesticulations d'Asseline et de son associé alsacien, journaliste à France 3, sont sans importance. La Cour européenne des droits de l'homme est saisie depuis 1996. J'attends toujours une réponse. A défaut, j'attends une réponse du gouvernement, ou de l'institution judiciaire, ou du bâtonnier (les avocats refusent de me répondre).


17 février 2005. Jean-Claude Boetsch, journaliste, s'enfonce dans la malhonnêteté (communiqué). Et ses collègues français, que pensent-ils de tout cela ? (liste).


15 février 2005. Compte tenu du comportement actuel de Michel Asseline, qui persite à vouloir jouer les Zorro redresseur de torts, il apparaît nécessaire de procéder à un petit rappel. Par ailleurs, un nouveau dossier a été mis en ligne, sur les médias français.


11 février 2005. Le Figaro d'hier vient de faire part du mécontement de l'association des familles des victimes du crash de Charm el-Cheikh, ce qui révèle un sérieux virage au regard de la satisfaction affichée après la publication du rapport égyptien, en novembre 2004. Ce virage fait suite à la récente mise en ligne, ici-même, d'une analyse technique et des critiques du travail des enquêteurs (voir ci-dessous au 23 janvier 2005). Un rappel a donc été adressé à quelques journalistes, notamment à l'AFP (courriel).


FIN JANVIER 2005, BILAN. Ce sont des fous dangereux (ici). Heureusement, j'ai la tête bien vissée sur les épaules. Quant aux journalistes français, c'est de pire en pire. Comment ces éternels donneurs de leçons à la planète peuvent-ils justifier leur comportement dans cette affaire qui dure depuis seize ans et demi, alors qu'ils savent parfaitement à quoi s'en tenir (ici) ?


23 janvier 2005. Les causes du crash de Charm el-Cheikh. Promesse tenue. Il y a du nouveau. Les causes de la catastrophe de Charm el-Cheikh sont connues des enquêteurs depuis, au plus tard, mars 2004. Mais on les cache aux familles des victimes, parties civiles. Toutes les explications dans un nouveau dossier ici.

Mensonges systématiques sur les causes des accidents d'avion... Mise en œuvre, à la demande du ministre, d'un "label bleu" destiné à pouvoir toujours "prendre les mêmes et on recommence", mais en tentant de dégager la responsabilité des autorités françaises en cas de catastrophe... Mise en place d'un transport aérien avec affrètements en cascade, comme dans la marine pétrolière (Agen-Paris en est le premier frisson)... Les ficelles sont un peu grosses. Qu'en pense-t-on au cabinet du ministre ? Pas responsables et pas coupables ? Jusqu'à quand ? Et qu'on ne vienne pas y prétendre n'être au courant de rien. Pas avec ceci.


MI-JANVIER 2005, BILAN. Il semble qu'il n'y ait plus rien à ajouter. Cette affaire a débuté il y a seize ans (presse). Le bilan définitif tient maintenant en deux courtes phrases. Il a été rappelé une dernière fois (lettre). La suite est ici, dans le respect de la loi. On pourra (très) bientôt constater que "avec Nono, vous aurez du nouveau" ! Dans le respect de la loi, comme d'habitude. Ohé, les Renseignements généraux : attention aux fusibles (bis).


3 janvier 2005. Samedi soir, 1er janvier, j'ai été agressé au cutter. Intervention de la police de Sainte-Geneviève des Bois, des pompiers de la même ville, puis des pompiers de Longjumeau et hospitalisation aux urgences de l'hôpital de Longjumeau (PV de police et document médical). Une précision : je n'ai pas voulu cogner pour me défendre, à la différence de ce qui s'était déjà produit, afin d'éviter d'être une nouvelle fois exclu d'un centre d'aide au SDF (voir ci-dessous au 9 novembre).

Qu'advint-il de mon agresseur, sachant d'une part qu'au cours de ces dernières années j'ai été mis en détention provisoire à plusieurs reprises (12 mois au total) sous de simples accusations de menace, en outre tellement foireuses qu'aucune condamnation n'a jamais suivi, et sachant d'autre part que mon agresseur a en revanche prouvé sa dangerosité et qu'il ne peut pas être convoqué à un éventuel procès parce que SDF ? Il a été remis en liberté par le parquet après une nuit de garde à vue ! Et le soir même, 2 janvier, il m'a de nouveau menacé à la Gare de Lyon !! J'ai pris le large, mais, dans ma situation, je ne puis abandonner l'aide fournie par les organismes de soutien aux SDF. Dois-je neutraliser définitivement et discrètement mon agresseur ? Ai-je le choix ? Ceux qui font semblant de ne pas savoir lire et refusent de me répondre sont des fous dangereux (document).


1er janvier 2005. Bonne année à tous. Dans la bonne humeur. On sait que, s'agissant des lessives, il y a Omo qui lave plus blanc que blanc. C'est un peu pareil au sein de la justice française. Il y a des présidents qui sont plus présidents que les présidents. On les appelle des premiers présidents. Le problème, c'est qu'ils ne lavent pas grand'chose, à l'instar de Renaud Chazal de Mauriac, premier président de la cour d'appel de Paris. Suite et explications ici.

Message aux Renseignements généraux : En premier lieu, meilleurs vœux à vous, bien sûr. Mais il est prétendu par des mauvaises langues que vous n'auriez pas transmis au gouvernement (ministère des Transports, ministère de la Justice...) les informations figurant sur ce site. Attention aux fusibles.


23 décembre 2004. Messieurs Chesnot et Malbrunot ont été libérés. C'est bien. Les médias en parlent beaucoup. C'est bien. Ils ont beaucoup parlé de cette affaire durant les quatre mois de détention des intéressés. C'est bien. Mais quand un pilote de ligne est détenu en France durant vingt mois au total pour délit d'opinion sur la sécurité aérienne et délit d'activité syndicale, c'est le silence, même au Canard enchaîné (ici et ici). Et c'est même la censure (ici). Il y a un grave problème dans ce pays. Qu'il va falloir résoudre.


20 décembre 2004. Je commence à comprendre ceux qui, poussés par l'exaspération et la colère, se livrent à certains actes plus ou moins sanglants (ce que j'éviterai, je le répète : c'est du coté des institutions qu'il faut rechercher la folie). Suite et explications ici.


18 décembre 2004. Les parlementaires semblent avoir, eux aussi, adopté la politique de la tête dans le sable (avec une seule exception, voir ci-dessous au 2 novembre). La France, pays des droits de l'homme ou de l'irresponsabilité générale ? Et à propos de droits de l'homme, où en est la Cour européenne ? (Voir également ci-dessous au 30 novembre.)


14 décembre 2004. Toujours le grand silence sur cette affaire (avocats, institutions, journalistes...). En revanche, Noël Forgeard, président d'Airbus, a déclaré qu'il envisageait pour Airbus "l'entrée dans un cycle descendant". Il a ajouté "nous commençons à nous en soucier" (Le Monde). Surprenant. Très surprenant, même. Sous le manteau, certains prétendent que Boeing et les Américains auraient exercé des pressions sur Airbus, par des menaces non rendues publiques, la menace étant justement l'organisation d'un "concert public de tam-tam" international sur mon affaire (entre autres). Soyons sérieux, cela ne tient pas debout. Je n'ai pas ce pouvoir. En outre, il faudrait en conclure qu'Airbus et Boeing s'entendraient pour cacher la vérité sur les causes des accidents aériens et pour négocier les parts de marché, et ce au détriment de la sécurité. Qui pourrait croire cela ?


5 décembre 2004. Mon livre, publié en septembre 1994, est disponible sur le site.
(Un grand merci à Marc      pour tout le travail au scanner, la lecture optique, les vidéos, la mise en PDF...)


30 novembre 2004. Afin de répondre à certaines interrogations, je répète que j'éviterai les atteintes aux personnes et les destructions de biens. Ceci me permet de souligner avec plus de force encore le comportement irresponsable des institutions (lettre).


28 novembre 2004. Je tiens quelques journalistes français informés de l'évolution de mon affaire, notamment à l'AFP. Aucune réaction. Couardise ou vénalité ? Du coté des institutions, l'irresponsabilité est érigée en mode de gestion (lettre). Sur ce dernier point on peut également revoir l'info du 23 novembre ci-dessous.


23 novembre 2004. Mon « scoop » et mes infos d'avant-hier, 21 novembre, sont confirmés. Dans le rapport sur le crash de Charm el-Cheikh, le paramètre de la vitesse verticale, ou taux de chute, manque, alors que ce même rapport affirme à deux reprises que tous les paramètres figurent sur les listings annexés. Arslanian est un vilain menteur. Comme d'habitude (ici et ici). Qu'en pense M. de Robien ? Le ministre de tutelle ne doit-il pas s'inquiéter des mensonges systématiques de son administration, alors que des vies humaines sont en jeu ?


21 novembre 2004, 16 heures 50. Voici ce qui pourrait bien être un « scoop ». Sauf erreur de ma part, dans les listings de paramètres du rapport de la commission d'enquête sur le crash de Charm el-Cheikh, il manque un des paramètres les plus essentiels, voire le paramètre le plus important, qui montre bien l'incompétence de l'équipage. Il s'agit des indications du « vario », la vitesse verticale ou taux de montée et descente. Quand on connaît Arslanian, on sait où chercher !


21 novembre 2004, 13 heures 30. A la suite des deux précédentes infos et pour répondre à quelques demandes, voici les pages 81 et 137 de mon livre, concernant le crash de Habsheim et Arslanian, un grand spécialiste du faux. Et, pour faire bon poids, j'ajoute la page 95, relative au crash du Mont Sainte-Odile (Arslanian était vice-président de la commission d'enquête). Le ministre Bernard Bosson a déposé une plainte en diffamation visant, entre autres, ces passages de mon livre. Son successeur, Bernard Pons, a abandonné les poursuites.


21 novembre 2004, 9 heures 20. Charm el-Cheikh : arrêtons les mensonges. Voici les causes de l'accident. L'équipage n'a pas détecté, au sol, une anomalie dans le fonctionnement des becs de bord d'attaque. C'est une première faute. Il ne l'a pas détectée en vol. C'est une deuxième faute, d'autant plus grave que la vérification de la position des becs figure dans la « check list » normale à appliquer à ce moment du vol ! Constatant un problème de stabilité, il n'a pas appliqué les consignes de base qu'on enseigne normalement à tous les pilotes placés dans ces circonstances : assurer la trajectoire. Troisième faute. Il n'a pas cherché à analyser l'origine du problème de stabilité. Quatrième faute. Il a cherché le salut dans le pilote automatique, violant les consignes à appliquer dans une telle situation (règles générales et consignes spécifiques à la machine). C'est une cinquième et -pour le moment- dernière faute. En outre, on peut se demander si le problème des becs n'était pas connu de l'équipage et des services au sol de la compagnie, avant même la mise en route, et si tout ce beau monde n'a pas tout simplement « fait l'impasse » en toute inconscience. Bref, du n'importe quoi, pour pas cher, cautionné par l'administration française, c'est-à-dire, en premier lieu, Paul-Louis Arslanian.

(A suivre dans la journée avec quelques précisions sur Paul-Louis Arslanian, cf. info d'hier.)


20 novembre 2004. On parle beaucoup, actuellement, de Paul-Louis Arslanian, directeur du bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA), à propos du crash de Charm el-Cheikh et des mensonges officiels dans l'enquête. On en parle tellement que le ministre des Transports français, prudent, se désolidarise ouvertement de ce haut fonctionnaire. Pour ceux, rares, qui ont eu l'honnêteté et le courage de suivre les enquêtes sur Habsheim et Sainte-Odile, Arslanian est bien connu comme faussaire professionnel en la matière. On retrouve tout cela dans mon livre (dans quelques jours sur ce site, en PDF). Arslanian se souvient-il de l'audience de la 11ème d'appel de novembre 1991, où il était entendu comme témoin (page 81 du livre) ? Et que pense-t-il des pages 137 et suivantes de ce même livre ? Se souvient-il du lâchage de son ministre de tutelle dans les poursuites engagées contre ces mêmes pages du livre ?


18 novembre 2004.
• Une rubrique FAQ donne les réponses à toutes les questions posées depuis la création du site.
• Nouveaux documents. Sur les associations de victimes (ici). Sur la censure (ici et ici).
• Mon livre, paru en septembre 1994, sera disponible sur le site dans quelques jours (en PDF).


9 novembre 2004. La semaine dernière, dans un centre pour SDF où j'arrive à prendre quelques douches, j'ai été agressé par un excité. Il jurait sur les écritures sacrées de sa religion qu'il allait me tuer. J'ai dû me défendre. L'excité est parti à l'hôpital. Mais je suis maintenant interdit dans ce centre. Cela va être encore plus dur pour pouvoir prendre une douche. Je perds du même coup le bénéfice de tickets repas. Par ailleurs, j'avais pu obtenir le RMI depuis quelques mois, mais, comme je ne réponds pas à certains critères, je viens de le perdre.


6 novembre 2004. J'ai porté une nouvelle lettre au président du Tribunal de grande instance de Paris, Jean-Claude Magendie, et au premier président de la Cour d'appel, Renaud Chazal de Mauriac, sollicitant une fois de plus une intervention auprès du bâtonnier et du conseil de l'ordre des avocats, afin qu'il me soit répondu. Est-il utile de commenter une telle caricature ?


2 novembre 2004. Pour le moment, une seule réponse a été obtenue aux courriels adressés aux députés et sénateurs (cf. ci-dessous au 6 octobre). Son expéditeur(trice) est réputé(e) pour son indépendance d'esprit et sa sincérité. Par ailleurs, j'espère toujours une réponse de la Ligue des droits de l'homme (cf. ci-dessous au 20 octobre).


26 octobre 2004. De nouvelles expertises sur le crash du Mont Sainte-Odile continuent à confirmer que j'ai raison sur toute la ligne, depuis le début (presse du jour et ici).

Dans le même temps, les avocats, le bâtonnier, l'institution judiciaire, le gouvernement et la Cour européenne des droits de l'homme continuent à refuser de me répondre. Pourquoi ?

Message aux Renseignements généraux : Vous suivez ce dossier, entre autres par la surveillance des forums, notamment ceux de Radiocockpit. Pouvez-vous le rappeler au ministère des Transports ? Parce que les histoires de label bleu c'est bien gentil, mais là on est plutôt dans le label rouge. Merci.


20 octobre 2004. J'ai fait appel à la Ligue des droits de l'homme et l'ai informée de mon affaire et de la création de ce site. J'attends une réponse.

Par ailleurs, la réalité de ma situation et de mes moyens a été mise en doute. Pour les moyens informatiques, voici une carte qui devrait faire taire les ragots. Je rappelle aussi ce passage de la version intégrale (un paragraphe). Et ceux qui veulent venir vérifier sur place seront les bienvenus (tarif : un café).


13 octobre 2004. J'ai adressé une lettre de rappel à la Cour européenne des droits de l'homme. Cette lettre appelle les mêmes commentaires que ci-dessous, à la date du 23 septembre. Il s'agit bien d'une grosse affaire d'Etat.


6 octobre 2004. A l'exception d'une cinquantaine, tous les députés et sénateurs (ils sont 898) ont été informés de mon affaire, de ma situation, de ses raisons et de la création de ce site. Un courriel personnel a été adressé à chacun d'eux. Je ne sollicite qu'une réponse du bâtonnier de Paris ou d'un membre du conseil de l'ordre des avocats (courriel au conseil de l'ordre).


29 septembre 2004. J'ai porté une lettre au ministère de la Justice. Elle appelle les mêmes commentaires que ci-dessous, à la date du 23 septembre.


23 septembre 2004. J'ai porté une lettre au président du Tribunal de grande instance de Paris, Jean-Claude Magendie, et au premier président de la Cour d'appel, Renaud Chazal de Mauriac, sollicitant une nouvelle fois une intervention auprès du bâtonnier et du conseil de l'ordre des avocats, afin qu'il me soit répondu. La persistance du silence ouvertement affiché qu'on m'oppose confirme, s'il en était encore besoin, qu'il s'agit bien d'une grosse affaire d'Etat.


20 septembre 2004. Une nouvelle rubrique est créée : "DOSSIERS". On y trouvera progressivement de nouveaux dossiers. Le premier est "Les médias".


11 septembre 2004. J'ai relancé le président du Conseil national des barreaux, le président de la Conférence des bâtonniers, la Confédération nationale des avocats, le Syndicat des avocats de France et l'Union des jeunes avocats, sollicitant leur intervention afin que le conseil de l'ordre des avocats (Paris) me réponde. En vain. Malgré la limpidité des faits, on m'oppose toujours un silence obstiné. Devant une telle caricature, ouvertement affichée, comment ne pas conclure qu'il s'agit bien d'une grosse affaire d'Etat ?


7 septembre 2004. On en apprend publiquement un peu plus sur l'affaire Air Lib/Corbet à la lecture du Parisien d'aujourd'hui (7/9). J'avais déjà dénoncé tout cela, et plus, dans une note du printemps 2003, largement distribuée, notamment à l'Agence France-presse et quelques autres journalistes. Et ceci est rappelé, en résumé, dans l' « histoire en version intégrale » (ici). Il n'est pas inutile d'ajouter que les magouilles de ce genre durent depuis vingt ans dans l'aviation française (voir ci-dessous l'info du 3 septembre).


3 septembre 2004. On peut lire dans le Canard enchaîné et le Point de cette semaine quelques précisions, qui font suite à d'autres articles, sur certains représentants syndicaux des pilotes : des gens uniquement préoccupés par leurs seuls intérêts et qui trompent la profession à leur seul profit. Cela fait des années que je dénonce ces méthodes. Les premiers tracts de notre syndicat évoquaient déjà ces turpitudes. Le but affiché de notre action était d'ailleurs de faire un peu le ménage. Tout cela figure dans mon livre, paru en 1994. Dans ces circonstances, on comprendra mieux mon isolement et le silence qui a entouré les actes dont j'ai été victime, même si j'ai bénéficié de deux jours de grève en mai 1992. Ce fut la seule grève spécifique aux pilotes d'Air France sur une période de dix ans, c'est-à-dire un événement (mais les médias français n'ont pas montré un grand entrain pour évoquer cette grève, ni ce que j'ai subi par la suite).


1er septembre 2004. "RadioCockpit", des gens qui ont du poids dans l'aviation, m'a proposé son aide par un courriel du 17 août ("Bonjour Norbert, n'hésite pas à nous dire ce qu'on peut faire pour t'aider. Cela fait longtemps que nous essayons de savoir où tu en es, et on n'avait pas vu passer ce message. Reste en contact.").

J'ai répondu : "Merci pour votre proposition. Peut-être pourriez-vous parler de mon affaire sur RadioCockpit, comme vous l'avez fait pour des employés de l'aéroport de Bangui, et passer une info sur la création de mon site, comme vous l'avez fait pour Ryanair ? Et autre chose ? Cordialement,...".

Sans aucun doute, RadioCockpit interviendra.


30 août 2004. La censure et la désinformation ont commencé leur œuvre. Elles semblent toutefois émaner d'une initiative dominicale individuelle, alors je n'en dirai pas plus pour le moment, même si j'ai enregistré tous les faits. En attendant des éclaircissements, si des internautes veulent faire connaître ce site au maximum de personnes (notamment les pilotes), je n'y vois aucune objection. Merci d'avance.


24 août 2004. Certains intervenants et observateurs sont informés de la création de ce site. Entre autres des journalistes, notamment l'Agence France-presse.

Ce site sera régulièrement mis à jour (la date sera mentionnée sur la page d'accueil). Des dossiers nouveaux seront présentés (j'ai ce qu'il faut sous le coude). Les mises à jour feront état de l'évolution de ma situation, des décisions que je prendrai et des actions que je vais mener.




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