Corruption, crashs aériens, justice : état au 11 mars 2020 - mis en ligne
le 11 mars 2020 par Norbert Jacquet -
Mars 2020 : les conséquences législatives d'une meurtrière concurrence incontrôlée
Février 2020 : les conséquences meurtrières d'une concurrence incontrôlée
Années quatre-vingt : "En 1985 déjà, Norbert Jacquet..." (L'Alsace du 16 novembre 1988)
Sécurité aérienne : au mépris de la vie humaine
des institutions s'acharnent depuis 1988 contre le pilote qui dit la vérité. Ces actes sont rendus possibles en raison du
haut niveau de corruption en France.
Aux Etats-Unis le Congrès intervient, mais en Europe...
On assiste aux Etats-Unis à une spectaculaire "opération
mains propres" en matière de sécurité aérienne, en toute transparence. Tout est mis sur la place publique, exposé quotidiennement
et longuement par les médias. Le dernier avatar de ce grand ménage est un rapport de la commission des transports du Congrès
affirmant que le 737 MAX de Boeing est un avion "fondamentalement défectueux et dangereux", ce qui démontre la nécessité de
réformer la législation et les réglementations relatives à la certification des avions de ligne
(article du Monde du 6 mars 2020).
Aux Etats-Unis le ministère de la Justice enquête
pour savoir si un pilote, Mark Forkner, a sciemment trompé les autorités au sujet du logiciel MCAS des commandes de vol
du 737 MAX.
(dépêche Reuters du 21 février 2020).
En Europe, en France, la justice française s'acharne
contre le pilote qui dit la vérité et qui dénonce les mensonges et falsifications. C'est le monde à l'envers. Avec des
morts inutiles par centaines. Sans parler des familles de victimes purement et simplement escroquées et sciemment détruites
à petit feu.
Avant d'en venir à ce qu'il se passe actuellement en
Europe, je présente trois autres rappels concernant les événements de la fin du siècle dernier...
Trois autres rappels utiles
1 - Dans les années quatre-vingt, le
28 mai 1989, The Observer, supplément dominical du Guardian, a rapporté mes prises de position publiques du 1er août
1988 ("Jacquet's views, blaming the Airbus, were printed prominently in all the French newspapers") ainsi que les méthodes
mises en oeuvre contre moi dans les jours qui ont suivi (cliquez sur l'image si nécessaire pour l'agrandir) :
The Observer, 28 mai 1989 (cliquez sur l'image si nécessaire pour l'agrandir)
2 - Le 30 septembre 1990 Channel 4
a diffusé un documentaire sur l'Airbus A320 et les accidents et incidents ayant frappé l'avion, notamment le crash de Habsheim.
J'y suis interviewé. Le commentaire des journalistes britanniques indique que j'ai été le premier à être intervenu. Il donne en
outre des précisions sur les méthodes employées contre moi après mon intervention publique et il signale qu'Air France,
interrogée, a refusé de répondre aux questions. Le passage de ce documentaire concernant ce que je viens de rappeler (3 mn
22 s) est disponible sur le Web (fichier WMV, 8 Mo) :
En septembre 1990 Channel 4 a rappelé que j'avais été le premier à intervenir
3 - En mars 1991 Airbus, très activement aidé
par la justice française, a organisé une campagne mondiale dans le but de me discréditer en diffusant aux médias, aux compagnies
aériennes, aux associations et syndicats de pilotes (...) du monde entier un fascicule dans lequel je suis cité :
Airbus m'a mis en cause dans un fascicule distribué mondialement en mars 1991
EN EUROPE, A LA FIN FEVRIER 2020...
Un exposé est disponible à partir d'une page du
28 février relative à un documentaire sur le crash du 737 MAX en Ethiopie il y a un an :
Les mêmes informations, à l'exception de ce qui concerne
le documentaire précité, sont disponibles ci-dessous.
L'Usine nouvelle, 10 février 2020
L'Usine nouvelle et la concurrence Airbus/Boeing (10 février 2020)
Ce qu'on trouve dans l'article de L'Usine nouvelle du
10 février 2020 est à rapprocher de ce que j'expose depuis les années quatre-vingt en matière de sécurité aérienne et que je
rappelle à l'occasion. Les conséquences meurtrières de la concurrence incontrôlée entre Airbus et Boeing, c'est à lire dans
un PDF du 11 février :
L'Agence française anticorruption a été informée le 3 février 2020
L'agence française anticorruption, organisme gouvernemental (Site Web)
L'Agence française anticorruption (AFA) indique sur son site
Web qu'elle a entre autres pour mission de "détecter les faits de corruption, de trafic d'influence, de concussion, de prise
illégale d'intérêt, de détournement de fonds publics et de favoritisme". Elle précise sur son site qu'elle "affine sa
stratégie", ajoutant : "Nous allons viser en priorité les entreprises que nous pensons [...]. Sans oublier celles
qui font l'objet de dénonciations, par courrier postal ou électronique, ou par des dossiers déposés à l'accueil".
Le 3 février 2020 j'ai informé l'Agence française anticorruption
de la gabegie meurtrière. C'est l'objet d'une page du 7 février :
Conclusion d'un courriel du 10 décembre 2014 resté sans suite (crash AF447 Rio-Paris)
Cet engagement est resté sans suite à ce jour, 11 mars 2020.
L'échange de courriels est présenté en page 6 d'un PDF qui livre également des documents édifiants sur les gros mensonges dans
l'enquête sur le crash de l'Airbus du vol AF447 Rio-Paris organisés avec la participation très active de l'avocat de parties civiles
Thibault de Montbrial corrompu par le mis en examen Airbus (NB : depuis le 10 octobre 2019 Hayat est premier président de
la cour d'appel de Paris) :
TRENTE-CINQ ANS D'HISTOIRE EN DOUZE PDF (2 MARS 2020)
Le 2 mars 2020 j'ai mis en ligne une page livrant les
liens vers douze PDF qui reprennent l'essentiel depuis les années quatre-vingt avec tous les documents utiles (des centaines de documents
administratifs, syndicaux, judiciaires, ministériels, des articles de presse et d'autres documents ainsi que des liens vers des fichiers
vidéo qui peuvent être téléchargés). Trente cinq ans de l'histoire mondiale de l'aviation :
Doit-on attendre une nouvelle tragédie aérienne inutile ?
La France a connu la honte avec la célèbre interview de la télé belge RTBF et sa scène culte concernant Mazarine et la cellule elyséenne
des grandes oreilles de Mitterrand. Pour ce qui concerne les enquêtes sur les crashs aériens il semble que la Belgique a, là
encore, de l'avance. Ci-dessous, extraits d'une émission de la télévision belge du 30 mai 2010 (la
lecture sur le site YouTube directement
permet d'avoir un texte d'accompagnement qui livre des informations complémentaires).